THE STRANGLERS Brother Junior
Concert organisé par Eureka – Halle Verrière en collaboration avec Veryshow & HS Prod
Mise en vente vendredi 27 mai à 10h
Réduit (étudiants, -20 ans, demandeurs d'emploi, bénéficiaires du RSA, détenteurs de la carte de fidélité) : 26€
- 14 ans accompagné d'un adulte payant : 15€
Soir : 32€
THE STRANGLERS Brother Junior
Concert organisé par Eureka – Halle Verrière en collaboration avec Veryshow & HS Prod
Mise en vente vendredi 27 mai à 10h
THE STRANGLERS
Formés en 1974, les provocateurs Stranglers s’apprêtent à enthousiasmer le public une fois de plus avec leur son britannique si distinctif !
La setlist est taillée pour le live, avec les classiques “Golden Brown”, “Always The Sun”, “No More Heroes” ou “Peaches”, auxquels s’ajoutent des titres extraits de leur nouvel album, Dark Matters, sorti le 10 septembre 2021.
Attendez-vous également à quelques surprises… Au cours de sa dernière tournée le groupe a repensé certains éléments qui viendront s’ajouter aux tubes qui ont pavé leur carrière pour un show unique. The Stranglers est incontestablement un des groupes anglais les plus excitants et influents de ces dernières décennies, avec 24 singles et 18 albums classés au Top 40.
« Chaque concert des Stranglers est un événement, une rencontre sulfureuse entre la réalité et le rêve, l’équilibre entre la fureur et la beauté »
« Quarante ans après leur premier hit, “No More Heroes”, ils tiennent toujours le haut du pavé, lancé en pleine gueule du disco à la fin des années 70 »
Brother Junior
La « Chance du Débutant » du 1er EP n’avait souri à Brother Junior qu’avec le rictus grimaçant des milieux avertis : autant dire un baume à l’ivresse éclair, dont les effets aussi euphorisants qu’éphémères laissent sur le carreau avec une médaille, mais la poche vide et la guitare en oblique.
C’est sans compter sur la détermination de ce petit frère autoproclamé de l’indie rock dirty, aussi têtu que prolixe.
Brother Junior est donc de retour avec Buck Up (le « remonte-moral »), brûlot D.I.Y enregistré live sur un plateau scénique de salle de concert vide et la sérieuse ambition de ne surtout pas déroger à une règle aussi basique que ne rien chercher à cacher : ni de ce rock poussiéreux et fébrile joué avec le poumon sans le moindre artifice, ni du décès d’une proche.
Une réflexion sans détours sur ce que l’on perd, ce que l’on laisse et ce que l’on espère tracer, porté par une énergie massive et rugueuse et une envie assumée d’amour, et d’espoirs.
Une poussée d’adrénaline brute, jouissive et forcément mélancolique, propulsée par un trio nourri au butane, quelque part entre Wilco et Ty Segall.